Atelier brunch

Atelier Brunch avec Marie Barbottin

samedi 15 avril, 10h30-12h

au CCNO


Pour les enfants de 6 à 11 ans
— 10€ / 8€ avec la carte scène nationale

Après une mise en corps ludique pour prendre soin de soi en présence des autres, cet atelier sera l’occasion d’apprivoiser les thèmes de prédilection de La chambre d’eaux. On traversera donc un grand corpus d’images autour du genre, un travail autour de la musicalité du geste, quelques appuis sur le texte et… une surprise! Un temps privilégié pour baigner dans l’imaginaire de la pièce. Aucun pré-requis, hormis la curiosité, n’est nécessaire.

Spectacle
La chambre d’eaux de Marie Barbottin
mercredi 12 avril, 14h30 et 19h
jeudi 13 et vendredi 14 avril, 20h30
Au théâtre d’Orléans

© Alain Julien


Marie Barbottin
Après une enfance en terre bretonne, Marie fait ses classes au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Depuis 2005, elle a collaboré avec les chorégraphes Laurence Marthouret, Emilio Calcagno, Claire Jenny, Olivier Bioret, Martin Chaput et Martial Chazallon, Frederike Unger et Jérôme Ferron, Carlo Locatelli, Nans Martin, Johanna Lévy, Mélanie Perrier, Daniel Larrieu, Hervé Chaussard et Jerôme Brabant. En juin 2013, elle s’est frottée au jeu d’autrice chorégraphique en co-signant et co-interprétant avec Pierre Pontvianne un Vif du Sujet commandé par la SACD, Punkt. Elle aime diversifier ses collaborations, dans le désir sans cesse renouvelé de rencontrer l’altérité et la versatilité des potentiels du corps en mouvement. La chambre d’eaux, pièce d’écritures hybridées, est le premier projet qu’elle porte en son nom, grâce au soutien du Manège, Scène nationale Reims (où elle est aussi artiste en compagnonnage), qui l’accompagne en production déléguée sur ce projet. Mère féministe de deux enfants, qui ne sépare pas la femme de l’artiste ; elle aime aussi beaucoup les jus de pamplemousse pressés, chanter sous la douche, et enseigner le yoga. Installée à Reims, Marie souhaite développer son travail en lien avec le territoire à travers le biais de l’association rémoise LGNC (Les Gens N’importe Comment).